Laura Smet : la drogue du violeur responsable de son écart

Le 27 janvier dernier, Laura Smet a défrayé la chronique en se faisant arrêter par la police à 8h30 du matin, sous l’emprise de stupéfiants et complètement nue. Les forces de l’ordre ont été interpellées sur la présence de deux jeunes femmes qui s’exhibaient au deuxième étage d’un immeuble de la rue Furstenberg et quelques minutes plus tard, c’est la fille de Johnny Halliday et Natalie Baye qu’elles retrouvent au bas de l’immeuble.

Une situation embarrassante pour la jeune femme de 27 ans qui a été contrainte de faire un séjour en cellule de dégrisement pendant trois quart d’heure, raconte le Parisien. Il faut savoir que la veille, Laura participait au Dîner de la mode contre le Sida initiée par le Sidaction et la Fédération française de la couture et c’est à l’issue de cet événement que les choses ont mal tourné. Toujours dans le quotidien français, la fille de Johnny s’explique aujourd’hui sur ce qui s’est réellement passé ce jour-là.

Pour qu’elle se retrouve dans un tel état d’ébriété, quelqu’un l’a droguée avec du GHB (la drogue du violeur), à son insu bien évidemment, et c’est alors qu’elle a perdu le souvenir de tout ce qui s’ensuivit, jusqu’à l’issue embarrassante que l’on connaît. Si l’héroïne des Corps Impatients sait que l’on a déversé de la drogue dans son verre, c’est parce que des analyses ont été faites dès le lendemain.

Tenant à préciser qu’elle n’était pas ivre et nue mais bien droguée, la jeune femme est cependant heureuse d’avoir pu régler les choses et est aujourd’hui en pleine forme. Laura Smet qui continue son petit bonhomme de chemin au cinéma fera bientôt une apparition sur le clip du titre Mon premier amour de Philippe Uminski, disponible à partir du 21 mai prochain.