George Clooney ne veut donner aucun conseil à l’ancien patron du FMI
Depuis exactement trois mois, une affaire universelle est sur toutes les lèvres : celle opposant l’ancien directeur du FMI à la femme de chambre du Sofitel qui l’accuse de viol. Alors quand George Clooney présente son film Les marches du pouvoir, il ne peut échapper aux allusions à l’histoire de DSK.
En effet, la dernière réalisation de l’acteur a ouvert la 68ème Mostra de Venise le mercredi 31 août dernier, et il a bien évidemment été assailli par les journalistes. Son film raconte l’histoire d’un gouverneur en campagne pour les primaires de la présidence, sous la direction d’un jeune chef de campagne qui se retrouve au milieu de ses magouilles politiques.
Dans l’intrigue, il est question de harcèlement sexuel sur une stagiaire du gouverneur, apparemment le sujet tendance de l’année, après Schwarzenegger et DSK.
Quand on demande donc à George s’il conseille à l’époux d’Anne Sinclair d’aller voir son film, il répond qu’il n’a aucun conseil à donner à l’homme et que le scandale sexuel est une affaire universelle qui existe dans tous les pays.
Quant à la question sur un éventuel intérêt pour le poste de chef d’État, George Clooney est catégorique : il n’est nullement attiré par la politique, laissant ce soin à l’actuel locataire de la Maison Blanche qu’il juge être le mieux placé. L’acteur préfère se consacrer au métier qu’il aime et qui lui permet de rencontrer des gens « séduisants ». Avis aux amatrices !