La journaliste affirme avoir été contactée par d’autres victimes présumées de DSK
Après les confidences de DSK sur le plateau de Claire Chazal dimanche soir, les critiques ne cessent de fuser. Tristane Banon est la première à monter au créneau pour exprimer sa colère et son outrage contre l’ancien patron du FMI.
Après être passée au Grand Journal de Canal + en compagnie de son avocat David Koubbi, dans lequel elle déclare avoir eu mal en regardant son présumé agresseur à l’écran, la journaliste donne une interview dans les pages du Parisien.
Tristane raconte qu’elle a été contactée par d’autres victimes de DSK, des femmes qui ont peur de sortir de l’ombre, particulièrement après avoir vu le cauchemar dans lequel est passée la journaliste depuis qu’elle a décidé de porter plainte contre l’homme politique. Par ailleurs, Tristane Banon souhaite avoir une confrontation avec celui qui a essayé de la violer le 11 février 2003, pour voir s’il peut toujours affirmer en la regardant dans les yeux qu’elle a menti.
Dans son entrevue sur TF1, DSK a tout simplement qualifié l’histoire racontée par Tristane Banon d’imaginaire, après avoir accusé l’américaine Nafissatou Diallo d’avoir tout créé de toutes pièces. La journaliste conclut l’entrevue par un appel à manifestation devant le Palais de Justice, le samedi 24 septembre prochain à 14h.