La chanteuse dément l’accusation selon laquelle elle s’enrichirait au détriment des victimes du tsunami japonnais
Comme des millions d’autres personnes dans le monde, Lady Gaga a été très touchée par le tsunami et le tremblement de terre qui ont secoué le Japon en mars dernier. Pour aider les japonnais, la chanteuse a confectionné des bracelets avec l’inscription « Nous prions pour le Japon » vendus à 5 dollars l’unité et dont les bénéfices devaient aller directement aux victimes japonaises. Une initiative applaudie par ses fans qui a permis de récolter rapidement des fonds indispensables pour la reconstruction du pays du soleil levant.
Il y a quelques jours cependant, Lady Gaga a été poursuivie en justice par un avocat de l’Etat du Michigan, Ari Kresh, qui l’accuse d’avoir profité des catastrophes japonaises pour se remplir les poches, étant donné que la chanteuse n’a pas précisé le montant récolté par la vente de ces bracelets ni celui qu’elle a versé à l’association Tsunami Relief Efforts. Accusation que la star a qualifiée dans un communiqué de honteuse et d’indigne. Lady Gaga affirme avoir reversé la totalité des bénéfices aux victimes et n’a fait aucun profit à travers les taxes de transport, comme stipulé par l’accusateur.
En tout cas, si la chanteuse de The Edge of Glory perdait ce procès, elle devrait verser 3,5 millions de dollars à ses poursuiveurs qui déclarent que c’est la somme empochée par Lady Gaga par la vente de bracelets.