L’épouse du chef de l’État se compare à Lady Gaga aux côtés des autres premières dames
On est à deux semaines des premières élections présidentielles et Carla Bruni monte au micro pour soutenir son mari. Celle qui a joué à fond la carte de la discrétion pendant sa grossesse et à la naissance de sa fille Guilia enchaîne désormais les interviews télévisées et pour les magazines.
Dans sa dernière entrevue pour le Nouvel Observateur, la première dame évoque sa place aux côtés de son mari en tant que candidat. Ce dernier lui a toujours dit que la campagne est faite à 98% par le candidat, seul, autrement dit son épouse n’y a pas sa place, puisque les français élisent un homme et non un couple. L’intervention d’une first lady n’est donc pas appréciée et la chanteuse le respecte, jugeant important de rester à sa place, voire même à l’écart.
Carla est cependant consciente qu’avec son expérience avec les médias, elle est plus exposée que les précédentes premières dames. C’est ainsi qu’elle se dit être une véritable Lady Gaga par rapport à Madame Pompidou par exemple, bien qu’elle soit aussi engagée dans les œuvres caritatives. Étant une célébrité à part entière indépendamment de son statut d’épouse du président de la République, Carla Bruni est obligée de se déguiser pour sortir dans les rues.
Car en effet, il lui arrive souvent de faire des escapades dans la capitale incognito et de mettre une perruque pour prendre le métro. Carla a acquis cette habitude depuis qu’elle a été projetée dans le monde du showbiz à 20 ans, et personne ne la reconnaît lors de ses virées. Récemment, elle a même été fouillée au Musée de la Marine sans être reconnue. Mais Carla Bruni avoue que son expérience de l’exposition médiatique lui a beaucoup servi et grâce à cela, la notoriété ne la pèse pas. L’épouse de Nicolas Sarkozy a appris à se déguiser au sens propre comme au figuré.