L’ancienne première dame déclare qu’ils vont désormais vivre comme tout le monde
Hier, on se posait des questions sur l’avenir de Carla Bruni, maintenant que son époux n’est plus Président de la République. Ces cinq dernières années, plus exactement depuis février 2008 où elle a dit oui à Nicolas Sarkozy, la chanteuse a passé sa vie à le soutenir dans sa haute fonction, allant même jusqu’à mettre ses projets personnels entre parenthèses pour ne pas risquer de perturber sa campagne.
Carla Bruni s’est par ailleurs engagée personnellement dans la campagne présidentielle comme aucune autre première dame ne l’avait fait avant elle, notamment en usant de son prestigieux carnet d’adresse pour vanter les mérites du programme de son mari, et en enchaînant les interviews télévisées pour prendre sa défense, elle qui se voulait jusque là plutôt discrète.
Mais tout cela n’aura pas servi à grand-chose puisque Nicolas Sarkozy a perdu face à François Hollande, obligeant ainsi Carla à céder également sa place de première dame à Valérie Trierweiler. Mais alors que tout le monde s’enquiert de l’avenir du couple, Carla Bruni Sarkozy se dit sereine.
Elle déclare que désormais, ils vont vivre comme tout le monde. Autrement dit, comme un couple normal qui profite de son samedi soir pour apprécier l’émission The Voice dont ils sont fans, et le reste du temps pour s’occuper de leur petite fille Guilia, née en septembre dernier et qui n’a pas encore du profiter pleinement de la présence de ses parents trop occupés avec la campagne électorale.
D’autant plus que Nicolas Sarkozy a pris la décision de se retirer temporairement de la politique après cette cuisante défaite, et de ne pas s’engager personnellement dans les législatives auprès de l’UMP. Une décision que sa femme soutient inconditionnellement, comme elle l’a toujours fait au cours de leurs quatre années de mariage.
On peut donc s’attendre à voir plus souvent le couple dans la propriété familiale des Bruni dans le Var, là où ils aimaient passer leurs vacances entre deux déplacements de Nicolas Sarkozy quand il était encore président.