La première dame donne son opinion sur la position d’Anne Sinclair
L’affaire qui fait le buzz depuis plusieurs mois, tant en France qu’outre-mer, est évidemment celle de Dominique Strauss-Kahn. Alors quand Carla Bruni décide d’accorder une interview à Christine Okrent pour la BBC, elle ne peut échapper à des questions concernant les déboires judiciaires de l’ancien ministre français.
À la question de la journaliste sur ce qu’elle aurait fait à la place d’Anne Sinclair, Carla évite de trop se mouiller. Elle répond qu’elle l’ignore, tout simplement. La première dame est très prudente avec les opinions étant donné que comme la plupart des gens, elle s’informe par la presse.
Après avoir lu ce qu’il était écrit sur sa propre personne, elle ne croit pas vraiment ce qui est écrit sur les autres. Néanmoins, la chanteuse ajoute que si elle avait été l’épouse de DSK, elle ne se serait pas montrée à ce point : c’est extrêmement dangereux et cela peut mener à la confusion.
Quant à la récente interview de l’ancien patron du FMI par Claire Chazal qui a crée la polémique, Carla Bruni ne l’a pas regardée. Son programme était chargé ce jour-là, avec un rendez-vous de sa fondation qui s’est achevé très tard, puis le dîner avec son mari, suivi d’une séance de « Camille Claudel » à la télévision.